Le parcours de Mitzi avec BGS retardée et sans chirurgie des ganglions lymphatiques

Le diagnostic de Mitzi

À la fin de l’année 2021, Mitzi a appris qu’elle était atteinte d’un carcinome canalaire in situ (CCIS), également appelé cancer du sein de stade 0. Ne sachant pas de quelles options elle disposait, elle a commencé à se renseigner sur le meilleur traitement.

Exploration des différentes options de traitement

Le protocole de soin standard pour les patients atteints d’un CCIS chez qui une mastectomie doit être pratiquée consiste à biopsier un ganglion lymphatique sentinelle ou à prélever des ganglions lymphatiques ciblés, dans les cas où une forme invasive de cancer est découverte pendant la chirurgie. Si cela n’est pas réalisé, ces patients risquent de devoir subir une nouvelle intervention chirurgicale pour retirer tous les ganglions lymphatiques axillaires, ce qui représente un risque supplémentaire..

Mitzi souhaitait connaître les différentes options thérapeutiques disponibles dans son cas. Ses recherches l’ont amenée à contacter le docteur Valerie Brutus du centre médical St. Vincent à Bridgeport. Cette dernière lui a proposé d’utiliser Magtrace® plutôt que de recourir à la pratique standard actuelle.

L’injection de Magtrace pendant la mastectomie signifie qu’il n’est plus obligatoire d’effectuer la biopsie du ganglion lymphatique sentinelle au même moment. Le traceur Magtrace reste présent dans les voies lymphatiques pendant plusieurs semaines. L’intervention sur les ganglions lymphatiques peut donc être réalisée après la mastectomie, une fois que les résultats de l’analyse pathologique sont disponibles et ont confirmé la nécessité de réopérer.

Magtrace nous permet de réaliser la mastectomie, puis d’attendre le rapport de pathologie avant de réopérer si nécessaire à une date ultérieure pour prélever les ganglions lymphatiques.Valerie Brutus, docteur en médecine

L’intervention

Heureusement pour Mitzi, le rapport final de pathologie a révélé que son cancer ne s’était pas propagé aux ganglions lymphatiques et qu’elle n’aurait pas à subir de chirurgie ganglionnaire.

Les résultats

« Chaque fois que nous évitons une intervention chirurgicale, nous évitons au patient d’avoir à se remettre de cette intervention. Cela va avoir d’importantes répercussions sur la prise en charge des patients. »Valerie Brutus, docteur en médecine